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 Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]

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Finn St-James
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Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] 61cbJe ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] 7zsmJe ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Cq2k


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MessageSujet: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeMar 27 Mar - 16:20

(je suis un fénéant et je n'ai pas corrigé mes fautes... je m'excuse d,avance pour tes petits yeux)

grmpf.

Finn était très occupé à arpenter les corridors de St. Barnaby en grommelant. Il était de mauvaise humeur. Une humeur noire, pourrie, douloureuse. Et quand Finn était de mauvaise humeur, il ne faisait rien d’autre comme activité. À part peut-être aussi râlé sur le fait qu’il était de mauvaise humeur. Ce qui revenait un peu au même, en fait…

Tout avait commencé comme ça commençait toujours chez lui : par un rhume. Hier soir, déjà, il avait senti poindre, dans le fond de sa gorge, un petit picotement avant-coureur caractéristique. Il s’était aussitôt mis à boire des litres et des litres d’eau, mais peine perdu. Deux heures plus tard, il avait déjà le nez bouché. Au moment de se couché, sa tête semblait peser des tonnes et il peinait à la tenir droite. Il s’était effondré comme une brique sur son lit, espérant que la maladie se passerait avec quelques heures de sommeil. Il se trompait. Totalement. Il s’était mis à toussé au cours de la nuit, le réveillant à chaque fois, l’empêchant d’aligné plus que quelques minutes de repos d’affilé. Il avait du se levé quatre fois pour se rendre aux toilettes à cause de toute l’eau ingurgité. La quatrième fois, il devait être à peu près 3h20 du matin, il s’était pris les pieds dans les traineries de son voisin de chambre qui se répandait et s’appropriait le plancher de manière alarmante. Il s’était étendu de tout son long dans la noirceur, ne cherchant pas trop à savoir si son nez était atterri proche d’une vieille chaussette, un slip déjà porté ou pire encore… bref, il s’était cogné le front dans sa chute et s’était relevé en jurant dans le noir et en heurtant plus ou moins tout ce qui se trouvait à porter de main. Une fois de retour dans son lit, le concert des ronflements qui faisait trembler les murs de la chambre l’avait empêché de refermer l’œil et il avait regardé les heures défilées, attendant anxieusement au fond de son lit en maugréant.

Vers 5h, finalement, n’en pouvant plus, à bout de nerfs, les cernes sous ses yeux presque aussi noir que son humeur, il s’était levé et était sorti de sa chambre pour aller arpenter les corridors de l’établissement sans but précis, simplement pour passer le temps autrement qu’immobile sous la couette.

Trente minutes plus tard, son mouchoir auto-nettoyant à la main, les yeux cernés, les lèvres gercées, le nez coulant et la toux creuse, Finn s’était rendu au deuxième étage. Il avisa, à ce moment, qu’il devait tourner en rond depuis un certain moment. "Foutu deuxième étage, sale labyrinthe de merde!" se dit-il entre deux reniflements en ajoutant un autre «Gmblgmm» pour la forme afin que les portraits et statut qui l’entouraient soit bien au courant que sa vie à lui, était atroce et pleine de souffrance. Devant le manque de réaction flagrants des concernés (certainement las depuis le temps de l’entendre râler aux petites heures du matin), Finn poussa un soupir profond. Quand la vie allait mal…


Grmbl.


Dernière édition par Finn St-James le Mer 21 Nov - 10:26, édité 3 fois
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Beatris Westfield
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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeMar 27 Mar - 23:19

Les murs bougeaient! Merlin, elle ne rêvait pas, elle en était certaine, elle avait vu les murs bouger, se refermer devant elle.

En fait, Beatris devait très certainement rêver. Installée depuis plusieurs minutes, si ce n'était pas plusieurs heures, contre les murs du couloir, la jeune femme peinait à marcher au travers l'université. S'arrêtant par-ci et par-là piquant un petit somme pour se réveiller en sursaut quelque minutes plus tard. Elle se relevait ensuite, difficilement, les jambes en cotons la vue embrouillée et la bouche pâteuse pour continuer sa route, de peine et de misère jusqu'à son dortoir.

Quelle idée! Elle n'aurait pas du rester si tard à la Banshee Hurlande... mais lorsqu'elle avait remarqué l'heure, le couvre feu avait été dépassé depuis bien longtemps déjà et l'ambiance festive éternelle de la banshee l'avait convaincue de rester quelques heures encore... après tout, l'université ouvrait tout de même tôt ses portes, elle n'avait eu qu'à attendre. Lorsque cinq heures trente étaient arrivées, elle avait prit son courage à deux mains et avait entamé le long voyage qui la séparait de l'université... quelque chose comme dix minutes de marche qui mutèrent en trente minutes...

Elle était arrivée de peine et de misère jusque dans le Hall, les genou terreux, les mains éraflées et les cheveux en batailles. Ses yeux étaient injectés de sang, cernés et son teint étrangement vert et cireux. Elle le promettait, que Merlin en soit témoin, plus jamais elle ne prendrait autant de whisky! Et ce, même si c'était le gentil serveur de la Banshee qui lui offrait... plus JA-MAIS. Enfin, bien évidemment, elle disait cela maintenant, alors qu'elle tentait de ne pas renvoyer tout le contenu de son estomac sur le sol fraîchement nettoyer.

Lentement, elle se laissa glisser le long du mur et appuya sa tête contre le planché frais du couloir. Couloir quelconque d'elle ne savait ou... qui sait peut-être n'était-elle même pas à l'université en fait... mais complètement perdu dans une autre ville! Enfin passons.... Ce n'était pas hygiénique, se coucher directement sur un vieux sol pierreux... datant dont ne savais combien d'année, mais elle s'en fichait, la fraîcheur semblait calmer ses étourdissements. Sa tête lourde, de toute manière, n'avait définitivement plus l'intention de bouger. Enfin, c'est ce qu'elle croyait jusqu'à ce que de bruit viennent déranger le silence reposant de corridor, faisant résonner son cerveau dans son crâne.


- Nom d'une goule peu pas faire moins de bruit!

les mots étaient sortie sans classe de sa bouche pâteuse. Sa voix avait sonnée rauque et frustrée ce qui contrastait étrangement avec son humeur habituellement excessivement joyeuse. Heureuse au point d'en frustrer les autres.

Elle laissa glisser le reste de son corps pour qu'il soit complètement étendu au le sol et roula sur elle même, faisant maintenant une jolie étoile au beau milieu du corridor. Elle pointa son menton vers le plafond, faisant ainsi basculer sa tête vers l'arrière et tenta de distinguer la personne qui se rapprochait. Des bruits de toux, de reniflements, de maugréages.

Beatris espérait que la dite personne ne l'écraserait pas sur son passage, car elle n'avait absolument pas la volonté de bouger d'où elle était présentement, ce sol était si accueillant.

À ce qu'il paraît le ridicule ne tue pas, après tout.

Plissant les yeux, elle était définitivement incapable de mettre un nom sur le grand corps qui s'avançait vers elle. C'était étrange en plus... il marchait sur le plafond... quelle drôle d'idée quand même.
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Finn St-James
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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeJeu 5 Avr - 16:47

Finn s’arrêta de soupirer en entendant des bruits indistincts emplir le corridor. Se figeant pour mieux écouter, il se demanda ce qui pouvait bien faire un tel raffut à une heure aussi précoce de la journée. Il cru tout d’abord discerner un bruit de pas, mais le son, déjà irrégulier au départ, stoppa net tout d’un coup et Finn se dit que c’était certainement quelques statues ou fantômes qui s’amusait plus loin. Décidant de ne pas y prêter plus d’attention que nécessaire, il se remit à errer à tout hasard… Jusqu’à ce qu’il soit encore forcer de stopper, cette fois-ci à cause d’une douloureuse quinte de toux qui s’empara de lui, manquant à peine de lui arracher au moins un poumon, au pire la trachée au complet. Il était tout juste en train de reprendre son souffle afin de se remettre de ses émotions qu’il entendit une voix s’élevée devant lui.

Celle-ci, qui semblait émanée du sol, était gutturale, rocailleuse, semblant appartenir à une créature vieille des premiers temps. Par Merlin! Se dit Finn, une créature oubliée, terrible, se serait-elle enfuie du labyrinthe et, errant durant la nuit tout comme moi, se serait retrouvée ici? Est-ce que les fantômes, las d’être enquiquiner pour une énième fois par les étudiants, aurait relâché quelconque monstre proche de leurs locaux de cours pour se venger d’eux? Figé de peur, oubliant du même coup son rhume et ses tracas il ne comprit pas un traitre mot de ce qui était marmonné dans son dos, mais se doutait bien qu’il s’agissait vraisemblablement d’une incantation visant à l’exterminer.

Habituellement, Finn n’était pas un froussard, au contraire. Avec sa taille et sa carrure, on lui reléguait plutôt le rôle de garde du corps. Petit, c’était toujours derrière lui que venaient se réfugier ceux que les plus vieux intimidaient et Finn, niais, fier de se sentir apprécié, faisait front et tenait tête vaillamment, quitte à prendre quelques coups immérités. Sauf qu’en ce moment c’était différent. À l’heure imprécise où il est difficile de dire s’il fait encore nuit où déjà jour, seul dans un endroit éloigné du château, fonctionnant sur quelques maigres heures d’un sommeil agité et le corps parcouru de frissons fiévreux, Finn ne s’était jamais senti aussi vulnérable. Si jamais ce qui se trouvait derrière lui s’avérait réellement malveillant, il n’était même pas certain de pouvoir articuler assez clairement un sortilège efficace pour se défendre, entre deux toussotements et un reniflement…

C’est donc avec inquiétude et la plus grande circonspection qu’il se mit à avancer vers la source de bruit, lentement pour ne pas alerter plus qu’il n’en fallait la créature. Il fut surpris d’abord de ne rien voir, jusqu’à ce que, baissant les yeux, il l’aperçoive. «Oh! Par Merlin, se dit-il, qu’est-ce que…?» La «créature» était allongée par terre, rampant sur le dos et se tordant de manière étrange. À dire vrai, cette créature avait étrangement forme humaine et ressemblait drôlement à un visage qui lui était. «Betris» soupira Finn. La jeune fille était dans un état impressionnant. Et pas dans le sens positif du mot. Littéralement vautrée sur le sol, la tête à moitié renversée, elle marmonnait dans un langage incohérent des mots inintelligibles, le teint brouillé, les yeux vitreux. La dernière fois qu’il avait vu quelqu’un dans cet état, c’était son père, bien des années auparavant. Penser à son père le fit frissonner de colère et de tristesse. Des images des pénibles soirées passées dans un salon lugubre à assister à la déchéance éthylique de son paternel défilèrent devant ses yeux, fugaces. Finn sera la mâchoire presqu’aussi fort que les poings, conscient qu’il devait prendre sur lui. «Prend sur toi, se dit-il, ce n’est pas de ton père qu’il s’agit…».


Devant lui, Betris soupira. Finn ne put s’empêcher de soupirer lui aussi. Il avait beau désapprouver le geste et le concept même de se saouler au point d’être dans un tel état, il ne pouvait se résoudre à laisser la jeune fille là, par terre, à la merci de tous. Il se résolut donc à l’aider du mieux qu’il pouvait. D’abord, il s’agissait de la ramener dans son lit. Il tenta de la relever et de la mettre sur pieds, mais peine perdu. Mettant sa gêne de côté, se disant qu’elle ne se souviendrait d’ailleurs certainement plus de rien le lendemain, il se pencha pour la prendre dans ses bras délicatement. Après tout, elle n’était pas lourde, la puce, surtout pour lui le géant. Il étouffa un léger toussotement et commença tranquillement à se diriger vers les chambres, essayant de faire le moins de bruit possible pour ne pas réveillée la jeune fille.

«Betris, si tu me vomis sur les pieds, je te laisse dans le corridor!»
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Beatris Westfield
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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeMer 11 Avr - 13:39

La chose continuait d'avancer vers elle. Elle avançait lentement, trop lentement, tellement tant que Betris s'en trouva frustrée. Elle voulait savoir qu'était la chose qui marchait sur les plafonds avec autant d'aisance. «Pfft, en même temps, la chose marche si lentement qu'elle ne doit pas être si doué que ça à marcher contre la gravité!» Pas faux... même saoule, la jeune femme réussissait à s'étonner.

Pourtant, plus la jeune femme fixait la chose, qui ressemblait étrangement à un homme, s'avancer vers elle, plus elle s'inquiétait. À cette heure si matinal, ou tardive selon les opinions, personne ne sortait, il n'y avait pas trente-six mille personnes qui pouvaient se tenir, sur le plafond, à quelque mètre d'elle, elle en était certaine. Une peur sens nom la prit au ventre. Son corps était si mou, sans vie, il ne semblait plus vouloir répondre à la moindre demande que son cerveau lui envoyait.

Pourtant, la chose, elle, continuait d'avancer, alors que Betris était vautrée au sol, sans grâce. C'était un homme, visiblement très grand et beau. Pour ce que Beatris en voyait du moins. Son cerveau sonna soudainement l'alarme. Un homme grand, séduisant qui marchait au milieu de nul part à cette heure, ce ne pouvait être de bon augure... et la jeune femme au soudain terriblement peur qu'il s'agisse d'un «each uisge»... l'homme cheval, kidnappant femme et enfant. Sa conscience avait beau lui rappeler que ce n'était que du folklore, Betris elle, en était convaincue. Elle avait appris, avec le temps que dans le monde de la magie et spécialement à St. Barnaby, on pouvait s'attendre à tout! Alors pourquoi pas un each uisge venant la kidnapper aux petites heures du matin pour l'amener au fond d'un Loch?

La bouche molle, la langue inapte et le corps si lourd que la jeune femme se demanda si elle était faite de pierre plutôt que de chair et de sang, Betris se retrouva soudainement dans une position à laquelle elle ne se serait pas attendue. Sur l'épaule du each uisge!! Elle aurait bien voulu tenter de gigoter, de le faire tomber, de se battre, mais la tête ainsi en bas, la seule chose qui lui vint à l'esprit fut de ne pas vomir sur la créature... créature qui avait étrangement une odeur familière aux narines de la jeune femme.

La main molle, elle tapa dans le dos de l'homme en tentant de parler... ce qui était vraisemblablement une tâche particulièrement difficile vu les sons étranges qui sortirent de la bouche de la jeune femme. Bordel! Qu'est-ce qu'on avait mis dans son verre? ... ok, dans ses MULTIPLES verres! Elle ira le voir, Jerry... ou bien c'était Tom, ou peut-être Fergus? Bref, peu importait, elle irait le voir, le barman pour se plaindre! Non mais oh, faire boire une si jolie femme autant, qu'elle mauvaise idée!


- j'gh.... lâchh-jeuh moi! Each Uisge, j-neuh pas toi!

Mais alors qu'elle se serait attendue à un silence total, la voix grave de son porteur raisonna dans tout le couloir, la faisant se redresser d'un coup :

- Betris, si tu me vomis sur les pieds, je te laisse dans le corridor!

Nom d'une goule! Ça alors! L'être surnaturelle connaissait son nom... parlait comme Finn... et lui demandait de ne pas vomir sur ses pieds? La jeune femme fronça les sourcils légèrement et tenta de s'accouder contre le dos de l'homme. De peine de et misère, elle se redressa complètement, les cheveux dans tous les sens, dans son visage, alors qu'elle tentait, sans délicatesse, d'agripper le visage de l'homme à l'odeur et la voix familière.

- J....jv'Finn? Finn cchh'est toi?

Bien évidemment elle aurait dû, en temps normal, penser qu'agripper la tête de quelqu'un, sans délicatesse, ne serait certainement pas apprécié.
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Finn St-James
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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeJeu 3 Mai - 11:38

Finn venait à peine de faire quelques pas, que Betris lui flanqua une claque dans le dos. Grâce les litres d’alcool que la jeune fille avait du engloutir, le coup porté vint s’écraser mollement dans son dos, mais Finn ne put s’empêcher de retenir une grimace en sentant un léger pincement à l’endroit où la main s’était étalée. Aidez les autres, qu’ils disaient, faites preuve d’altruisme, la gentillesse paye toujours… Altruisme et gentillesse, mon cul ouais! Se dit Finn, pour ce que ça me rapporte pour l’instant! Il était bien conscient de sa mauvaise foi, mais ses maigres heures de sommeil, son nez irrité par les mouchoirs lui criait que des coups en provenance de ceux qu’il tentait d’aider n’était vraiment pas ce dont il avait besoin pour l’instant. Qu’à cela ne tienne, se dit-il, Betris lui en devrait bien une après cela, et une grosse, soit dit en passant. Mais ça, c’était à la condition que la jeune fille se souvienne de quoique ce soit le matin venu…

«- J....jv'Finn? Finn cchh'est toi?»

Ah! Ben c’était déjà ça de fait, au moins. Betris l’avait reconnu! Il allait ouvrir la bouche pour lui répondre quand, de manière tout à fait soudaine (et, précisons-le, terriblement chancelante), la brunette eut l’idée saugrenu de tenter de se redresser dans ses bras. Surpris par un tel mouvement, Finn fut déstabilisé et se mit, à l’instar de son amie quelques minutes plus tôt, à tanguer dangereusement à gauche et à droite, à courir en zigzagant un peu dans tous les sens, essayant tant bien que mal de reprendre son équilibre déjà précaire et de ne pas, ainsi, s’étaler de tout son long par terre, les blessant tout les deux par la même occasion. Alors que la situation semblait sur le point de se rétablir, Betris, réagissant, vraisemblablement à retardement, sentant soudain que son porteur était instable, s’agrippa de toutes ses forces à la prise la plus proche, à savoir son propre visage.

«Ahh! Merde, Betr... mbffm…qu’est-c…humpf.. que… ARRÊTE! J’VOIS PLUS RIEN!!»

Finn, en panique, se mit à hurler en espérant que son amie comprendrait que, premièrement, elle lui faisait mal, que, deuxièmement, son initiative était loin d’aider leur situation, et finalement, que le geste l’avait débalancé de nouveau. Malheureusement, ne voyant rien, perdant ainsi tous ses repères, les bras chargés d’une jeune fille ivre morte qui semblait encore plus déboussolée que lui et la vision complètement obstruée, Finn se senti basculé par derrière.

La première chose dont il eut conscience, c’était son cœur, qui semblait vouloir sortir de sa poitrine tellement il battait fort. Au moins, il était vivant. Puis, la douleur commença à poindre un peu partout dans le reste de son corps. Étant tombé directement sur le dos, il avait eut le souffle coupé et ses poumons, déjà en piteuse état, était brulant d’avoir du expirer tout leur air en une fraction de seconde. Il n’avait pas laissé tomber Betris en chutant, si bien qu’elle lui était tombée dessus, entremêlant bras et jambes de chacun dans un fatras incompréhensible. Ses coudes le faisaient souffrir : ils avaient du être écorché dans la chute, et il avait bien peur de s’être tordu la cheville. Le plus bizarre, cependant, était ce drôle de picotement qu’il ressentait un peu partout, là où son corps était en contact avec le sol. Il n’arrivait pas à identifier ce dont il s’agissait, mais l’étrange sensation de brûlure qui l’accompagnait était un peu inquiétante.

Après avoir fait l’inventaire de ses blessures et constater, qu’outre sa cheville, il n’y avait rien de trop grave et qu’il était en un morceau, Finn se tourna vers sa camarade :

«Betris… euh… ça va toi? Rien de cassé?»

Attendant une réponse, le garçon essaya pendant un instant de comprendre où ils avaient atterri. Où était le sol de pierre froide sur lequel il marchait quelques secondes plus tôt, où était le plafond? Surtout, où était le mur du corridor contre lequel il aurait dû tombé? Car il ne se rappelait pas avoir vu, dans le corridor où ils étaient quelques instant plus tôt, une porte ouverte, une arche ou une trappe. Vraisemblablement, ils auraient du s’écraser contre un mur, où à tout le moins, sur le plancher. Or, alors que ses yeux commençaient peu à peu à s’habituer à la noirceur ambiante, il ne pouvait qu’arriver à la conclusion qu’ils avaient du, pour une raison où pour une autre, atterrir ailleurs. Dans ce qui, à première vue, semblait une très vaste pièce, sans porte ni fenêtre, mais dont le plancher, étrangement visqueux et nauséabond, piquait la peau. Drôle d’endroit, vraiment! À bien y penser, cependant, il n’était pas si surpris. Après tout, c’était commun à St. Barnaby, de voir les corridors changer d’allure, de place et de forme à tous moments de la journée de manière complètement aléatoire et sans raison apparente. Ils avaient du tomber dans une salle qui passait par là, littéralement. Et qui était peut-être rendu ailleurs. Ou qui s’était peut-être refermée sur elle-même, coupant tout accès au reste de l’école, et s’ouvrirait de nouveau que d’ici une centaines d’années…

Finn fut pris d’un vertige momentané. «Alors là, on est vraiment dans la merde.» Non seulement ils n’avaient aucune idée d’où ils étaient, de comment ressortir de cette pièce vaste qui était apparu pour peut-être disparaître ailleurs aussitôt, mais il était seul, blessé à la cheville, en compagnie d’une jeune fille à moitié plongée dans un coma éthylique, et putain que ce picotement qui venait du plancher commençait sérieusement à le brûler!
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Beatris Westfield
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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeMar 15 Mai - 11:02

Woooaah. La vie tournait. Non seulement la vie, mais la tête lourde de Betris, qui roulait sur ses épaules, tournait, alors que Finn faisait quelques manoeuvres qui échappèrent à la jeune femme. Tout tournait, tout semblait flous et lourd... «beehh» nom de nom, le grand roux l'avait-il traîné jusque dans un bateau sans l'aviser? L'océan était-il houleux au point de donner le mal de mer à la jeune sinsear? Et puis, pourquoi le ciel était gris et l'eau... grise aussi? La pauvre avait l'impression que ses yeux ne pouvaient fixer un seul endroit. Ils virevoltaient sur eux-mêmes

«Ahh! Merde, Betr... mbffm...qu'est-c...humpf.. que... ARRÊTE! J'VOIS PLUS RIEN!!»

À l'appel de son nom, la jeune écossaise fit un effort surhumain pour changer de position... et surtout tenter de ne pas vomir partout sur le dos de Finn. Elle tenta de gigoter, pour se replacer et ne plus avoir la tête pencher vers le bas, comme un peu plus tôt. Vraisemblablement, elle n'avait pas choisi la bonne manoeuvre, au bon moment puisque, alors qu'elle croyait que son ami s'était finalement stabilisé, ils recommencèrent à tanguer sérieusement. Ne sachant plus ou se tenir, et commençant sérieusement à avoir peur de se casser le nez, Betris se ré-agrippa à Finn bien fermement. Les paupières biens serrées sur elles-même. Soudainement une bourrasque de vent «Bourasque? Mais ma fille, tu es vraiment saoule hein? C'est qu'un tout petit vent...!» peu importe, un courant d'air vint effleurer le visage de Betris quand soudainement un choc puissant, après s'être écrasée sur Finn, propulsa son visage contre le sol; Visqueux et froid.

La jeune femme eu soudainement peur d'avoir vomis partout sur le sol autour d'eux et espérait sincèrement que ce n'était pas le cas. Son ami lui en voudrait certainement s'il se retrouvait avec les restes des derniers repas de Betris, partout sur lui. Bref, oubliant déjà à quoi elle pensait, la jeune femme tenta de se redresser, avec tant bien que de mal. Prise dans les grandes jambes et les grands bras du roux elle réussit tout de même à se mettre debout, avec bien des difficultés, évidemment. Elle passa près de se rallonger de tout son long sur le sol visqueux plus de trois fois et finalement, elle se redressa de toute sa grandeur «Uh... du haut de ton mètre soixante..?» Gneuh. Sa tête lourde, l'estomac vide, elle avait faim.


«Betris... euh... ça va toi? Rien de cassé?»

La Sinsear se retourna et plissa des yeux, cherchant à faire le focus sur le géant roux. Il n'était pourtant pas bien difficile à voir, mais la soudaine obscurité empêchait Betris de voir convenablement son ami.

«Uh...»

La jeune femme ne savait quoi dire... ou,elle avait perdu la capacité de parler. «Très éloquente quand même, tu pourrais te reprendre!» La jeune femme hocha la tête pour elle-même, plus que pour répondre à la question de Finley, mais alors qu'elle s'apprêtait à lui répondre elle se mit à se gratter le visage qui lui brûlait soudainement de manière désagréable. Fronçant une fois de plus les sourcils, elle continua le manège, toujours plus vigoureusement.

« B-ouais... ç'vaa... toooi?»

La jeune fille leva le bras, tentant d'aller rejoindre d'un pas instable son ami. Son autre main toujours occupée à frotter vigoureusement son visage brûlant et irritant. Sa vision, lentement, commença à s'adapter à la noirceur de la pièce et elle prit soudainement conscience qu'elle ne savait fichtrement pas où ils étaient. Elle lança un regard interrogateur à Finn, regard qu'il ne percevrait certainement pas vu l'obscurité de la pièce. Elle tenta donc de le questionner sans avoir l'air... trop enfin. Malgré qu'elle était franchement saoule encore, le choc l'avait légèrement secoué, lui faisant par la même occasion reprendre conscience. Du moins, elle en avait l'impression.

« Finn...? Finn... on... on est où dis-moi?»

Sincèrement et du plus profond de son coeur, Beatris n'avait jamais autant espéré que quelqu'un lui donne une réponse à l'affirmative. Non pas qu'elle n'aimait pas les aventures, mais, elle les préférait de loin lorsqu'elle n'avait pas envie de vomir... et lorsque son visage n'était pas en train de fondre. Elle continua d'avancer, cherchant à tâtons les murs. Laissant son visage, très certainement en train de pourrie ou elle ne savait quoi maintenant, de côté, elle déposa ses deux mains à plat contre le mur, tapant légèrement dessous.

Se retournant vers Finn, elle se rapprocha de lui, ses pieds glissants incroyablement contre le sol.

Cette odeur... au fond d'elle, elle savait que cette odeur, elle devrait la reconnaître. Pourtant, rien n'en était. Elle ne reconnaissait ni les lieux, ni l'odeur... ni les symptômes flagrants de ce qui se passait dans son visage.

« Finn... ton visage.. il te br- ... brûle à toi, dis?»
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Finn St-James
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Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] 61cbJe ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] 7zsmJe ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Cq2k


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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeVen 10 Aoû - 22:34

« Finn...? Finn... on... on est où dis-moi?»

Finn fut tenté de répondre en geignant à la question de la jeune fille. Geindre. Comme un petit enfant qui vient de perdre un jouet et ne sait quoi faire d’autre que pleurer sur place en attendant que maman ait pitié de lui et l’aide. Geindre parce que dans la situation où il se trouvait, tellement abracadabrante qu’il n’avait pas la moindre idée de quoi faire, cela lui semblait l’obtion la plus efficace. Geindre parce que la maman qui vient en aide au petit enfant, dans la situation présente, et bien c’était lui. Putain! Pourquoi il était là aussi? Insomnie d’abord, enrhumé d’un bout à l’autre, se retrouvant dans un pétrin sans nom pour la seule et bonne raison d’avoir décidé d’apporter son aide à une demoiselle en détresse. Ce qu’il pouvait emmerder les supers-héros moldu et leur code de l’honneur en ce moment. Ce qu’il pouvait emmerder le karma aussi. Geindre oui. Parce qu’il avait la mauvaise impression que le sort s’acharnait allégrement et avec un plaisir non-dissimuler à lui faire la vie dure. À le faire royalement chier. Voilà, c’était dit. Geindre donc. Ce qu’il fit intérieurement. Pour les apparences. Parce qu’il ne pouvait pas baisser les bras maintenant avec Betris, complètement bourrée à côté qui comptait sur lui. S’il abandonnait, elle aurait l’impression de perdre sa seule ressource, d’avoir été abandonné. Il poussa un soupir, bien audible cette fois-ci. Aller le roux, ressaisi-toi.

«Non, Bétris, je ne sais pas où on est, mais alors… pas du tout!»

En adressant ses mots à son amie, il lui fit dos afin d’observer de manière efficace les lieux. La noirceur baignant les lieux était, cependant, trop dense pour se faire une bonne idée d’ensemble. Se ressaisissant, le rouquin passa mentalement en revue rapide, toutes les options qui se présentaient à lui. La plus simple et la plus fondamentale, à son sens, était de dissiper les ténèbres ambiantes. Heureusement, il était un sorcier. Rien de plus simple. Il murmura un «lumos», se félicitant intérieurement de sa présence d’esprit et de son sang froid. De la baguette tendue au bout de son bras, extension sylvestre de lui-même, s’échappa d’abord quelques étincelles, puis un long rayon dont les bras luminescent vinrent lécher les murs suintants de la salle.

Celle-ci était immense, démesurée. Les murs de pierre était recouvert de tapisseries qui, jadis, avaient du être écarlates, mais qui, élimée, à moitié dévorée par les mites, étaient maintenant ternies et rendues grisâtre par l’épaisse couche de poussière qui les recouvraient. Quelques tableaux, vides pour la plupart, certains contenant des portraits à moitié assoupi ou à l’air scandalisé d’avoir été dérangé après une longue hibernation, pendant pitoyablement sur le mur du fond. À gauche, s’étiraient une énorme bibliothèque bourrée de manuscrits ancestraux qui débordaient de toutes parts, s’amoncelant en piles chambranlantes un peu partout. Aucune fenêtre de venait éclairer la pièce, rendant l’air davantage stagnant, escamotant une sortie d’urgence possible du même coup. Au centre de la pièce s’étendait une table en bois massif, recouverte presqu’entièrement par un immense nécessaire à potion crasseux, des piles de parchemins recouvert d’une écriture altérées, de pots au contenu douteux, de vieilles plumes cassées, et d’une foule d’autre menu objets hétéroclites et plus étranges les uns que les autres. Du décor qui s’affichait devant les yeux de Finn au rythme où la lumière le révélait, se dégageait une atmosphère étouffante. La saleté était omniprésente, le tout était dans un état de décrépitude avancé et le désordre était total. Le rouquin n’avait aucune idée d’où il avait atterri, mais à voir la quantité de poussière qui s’était accumulé ici, le dernier visiteur devait remonter de longue date et n’était certainement pas près de revenir de si tôt. Betris et lui ne pouvaient malheureusement donc pas compter sur une quelconque aide extérieure pour les aider à sortir de là…

« Finn... ton visage.. il te br- ... brûle à toi, dis?»

La voix hésitante de sa compagne le tira de ses pensés, le ramenant brutalement à la réalité. Il remarqua par le fait même qu’il se grattait les bras frénétiquement depuis tout à l’heure… En effet, son corps entier brulait, de manière diffuse mais plus que désagréable. À bien y penser, il ne se sentait pas très bien, pas bien du tout. En fait, il avait même la tête lourde et se sentait un peu nauséeux. C’était peut-être dû au léger tournis qui venait de s’emparer subitement de son corps, ou au bourdonnement continu qui lui emplissait désagréablement les oreilles. Ne voyait-il pas des formes indistinctes se dessinées à sa droite? Il n’aurait pu l’affirmer clairement. La douleur irradiait maintenant dans ton son corps. Essayant avec de plus en plus de difficulté de focusser son regard sur ses mains, il eut l’impression que celles-ci étaient recouvertes d’une épaisse couche de moisissure vivante. Drôle de vision. Il tenta de dégager ses mains, mais son corps ne semblait plus vouloir répondre aux ordres de son cerveau. Il y avait définitivement quelque chose qui clochait. Il tentant de prévenir Betris, mais ses cordes vocales refusèrent de coopérer.

«NggBetruissshh… ghuuuj ngradllppp hu leossshh»

Ah. Euh… ça n’allait plus du tout là. Foutu karma.

[hj: qui? moi? être la personne la plus lente au monde pour répondre aux Rp? ne-nonnnn]
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Beatris Westfield
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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeLun 17 Sep - 17:59

Elle était dans une position totalement ridicule, les deux mains en croix dans les airs, les jambes éloignées l'une de l'autre, pliées pour tenter de retrouver un minimum d'équilibre... ce qui visiblement était tout sauf une tâche facile. Le sol visqueux et gluant semblait vouloir la faire tomber... elle pouvait sentir ses pieds, qu'elle croyait pourtant fixent au sol, bouger, s'éloignant de plus en plus l'un de l'autre. Était-ce dût à tout l'alcool qu'elle avait ingéré? Parce que Merlin savait à quel point elle en avait but beaucoup ce soir... de l'alcool. Pourtant elle n'en était pas certaine... certes sa tête tournait toujours, lui donnant envi à tout moment de renvoyer le contenue de son estomac au sol, mais elle avait les idées claires.... peut-être que passer au travers d'un mur pour se retrouver, elle ne savait où, dégrisait? Il fallait qu'elle prenne sa en note... pour la prochaine fois qu'elle souhaitait dégriser au plus vite : «Note a moi-même... trouver un endroit ou je pourrai être envahi d'un sentiment de panique et ou je tomberai sur le sol froid pour...euh...» Bon... en fait elle ne savait plus ou elle en était.

Secouant la tête, elle tentait de s'accoutumer un peu plus à la pénombre de la pièce, elle eu l'impression étrange de se sentir de plus en plus enfermée. Ses pieds soudainement continuèrent de se distancer l'un de l'autre pour finalement la faire brusquement tomber au sol dans un bruit étrange. Pas le genre de bruit qui donne l'impression qu'on tombe sur un sol de pierre, quelque chose, tout elle, semblait avoir amortie sa chute... et continuaient de bouger... «Non... non non, les tapis ne bouge pas!» Son visage continuait de lui brûler, de plus en plus, mais maintenant ses genoux semblaient avoir rejoint la partie. Betris se pencha, déposant ses mains sur le sol gluant et moue pour se relever avec la ferme intention de bouger de cet étrange endroit lorsque ses mains semblèrent également se joindre à la réunions des grands brûlés.


«NggBetruissshh… ghuuuj ngradllppp hu leossshh»

Mais qu'est-ce que Finn lui racontait? Sincèrement... Betris lui aurait bien demandé si ce n'était pas lui qui était saoul au lieu d'elle, mais sachant pertinemment que son grand roux ne prenait aucune consommation alcoolisé -ou du moins en la connaissance de Beatris- elle se tut avant de dire une bêtise. La Sinsear opta plutôt pour se retourner, tentant de rejoindre à tâtons Finn. Merlin qu'elle aurait aimer être de ces gens vraiment trop géniales qui sont capable de se référer dans l'espace grâce aux répercussions des bruits sur les murs... ça lui aurait certainement évider de s’étaler encore une ou deux fois sur le sol... Mais elle atteignit finalement le roux, tendant sa main brûlante vers le visage de son ami.

«Finn? Finn beuuuh qu-g'est-ce que tu as?»

Puis soudainement, avant même qu'elle n'entende la réponse de Finn.. qu'il n'aurait peut-être même pas été apte à lui donner, Betris cria. Elle cria de toute ses forces, à plein poumons et ce juste à moins d'un mètre des pauvres oreilles du grand roux. Était-ce le fruit de son imagination? Était-elle encore tellement saoule qu'elle hallucinait? Pourtant quelque chose l'avait bel et bien toucher... et ce quelque-'

« AHHHHH!!!! »

Encore! Ce truc... ce truc n'arrêtait pas de lui foncer dedans! Instinctivement, le réflexe de petite fille fragile s'empara de Betris et sa nonchalance légendaire la quitta alors qu'elle sautait sur les genoux de Finn, agrippant sur sa tête, oubliant même de lui laisse une chance de respirer, de toute manière la frisé avait complètement oublié où ils se trouvaient ou ce qu'ils leur arrivaient... ce qui comptait pou l'instant c'était qu'un truc étrange n'arrêtait pas de la toucher et ÇA, elle détestait. Elle détestait la sensation froide du truc qui...

C'est alors qu'elle entendit les bourdonnements... nom d'un hippogriffe qu'est-ce que c'était? Elle tentait bien de plisser les yeux, puis des les ouvrir bien grands, essayant de capter un peu de lumière pour voir ce qui ne cessait de la frôler, mais rien à faire...

Sa seule consolation était que sur Finn... elle ne sentait plus le sol visqueux bouger traîtreusement.
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Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] 61cbJe ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] 7zsmJe ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Cq2k


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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeMar 18 Sep - 17:49

Nom d’un scrout à pétard lépreux. Là. Là vraiment, il ne comprenait plus rien. Mais alors là, absolument plus rien. Il récita mentalement la plus longue litanie de juron qu’il avait, de mémoire, jamais récité. Il s’impressionna lui-même de l’inventivité et de la hargne qu’il y mit, c’est qu’il était surprenament inventif et volubile quand il s’y mettait! Éloquent, même. Pourtant, il était incapable d’aligner deux mots censés devant une fille le moindrement mignonne! Pourquoi diable se trouvait-il des talents d’orateur lorsqu’il était dans la catastrophe jusqu’au cou? Il s’arrêta un moment pour réfléchir à l’image mentale qu’il avait eut d’être dans la catastrophe «jusqu’au cou». Ça lui évoquait quelqu’un en train de se noyer dans un gros baril de mélasse… ou de s’enfoncer dans des sables mouvants… ou se faisant dévorer à moitié par un dragon… ou… Mais putain, il était en train de délirer, là? Il pétait complètement un câble ou quoi? C’était la douleur, peut-être, qu’il l’empêchait de formuler une suite de pensées logique. Oui, c’était sûrement ça, car pour avoir mal, ça, il avait mal. Partout et sans arrêt. Aïe aïe aïe et il ne pouvait même plus parler pour exprimer sa douleur! L’horreur totale.

Il s’occupa à râler mentalement, faute de mieux, sentant son corps brulant de manière insupportable s’enfoncer peu à peu dans le sol suintant. C’était étrange ça. Si un jour il reprenait ses moyens, il devrait sérieusement enquêter sur la question. Peut-être est-ce qu’il…. Il allait repartir dans un autre de ses délires fiévreux quand, soudain, en plus de ne plus pouvoir entendre, de ne presque plus voir à cause de ses yeux étrangement bouffis et gonflés, il ne put pas non plus respirer. Bon. Et c’était quoi ça encore? Il se sentit écrasé sous une masse pesante, mais diffusant une chaleur réconfortante. Betris. Ça ne pouvait qu’être Bétris. Mais qu’est-ce qu’elle faisait sur lui. Sur lui. Et pourquoi est-ce qu’elle l’empêchait de respirer? C’est pas sympa, ça ma Betris. J’vais p’t’être même en crevé, ma petite Betris. Débarque de là et laisse moi me remplir les poumons d’aire ma p’tite dame, sinon j’vais crever sous toi et disparaître dans tout le moisie du plancher qui pu et on me retrouvera plus et pouf! Pas drôle tu dis, ma petite dame? Ben ce sera de ta faute. Hahaha! Tu l’auras bien mérité, t’avais qu’à pas me faire tomber n’ importe où ma petite. Petite Betris, t’avais qu’à pas me sauter à la figure complètement bourrée pour me faire tomber dans cette salle moisie, puante et brulante. On n’a pas idée de faire une chose pareille à des gens respectable! Elle me brule la peau cette salle moisie moi, petite petite Betris. Elle te brule la peau la salle moisi toi aussi, Betris petite? Tiens, tu sens pas quelque chose Petris betite? Tiens, c’est drôle, j’ai l’impression de voler. Je vole, je vole, je vole, je vole, je vole, je vole. Ah tiens. Je respire aussi Petris-Betris. T’es partie? Tu m’as quitté? Tu m’as laissé? Tu m’as abandonné? T’as volé de tes propres ailes au loin? Fallait pas faire une chose pareille, petite! Fallait pas! Fallait pas! Fallait pas te fâcher parce que j’ai dit que tu étais nouille et que c’était de ta faute tout ça! Franchement Petite-Petris-Betris, ne monte pas sur tes grands chevaux pour une simple phrase en l’air comme ça. C’était qu’une phrase en l’air, hein? En l’air comme moi en ce moment. Je t’ai dit que je volais? Bah ouais. La classe quoi, Betris-Petris! Même que j’ai plus mal moi nananère! Même que je le sens plus sous moi, le plancher moisie qui pu, ma petite dame. Même que j’me sens tout drôle perché dans les airs sans le planché, sans ton p’tit corps de Petris qui me réconfortait. J’ai la tête qui tourne, tourne comme un balon. Ouais. Comme ça. J’me sens léger. J’me sens joyeux. J’me sens bien.




hmmm





Ouais. J’me sens… Bien… bien… Je vole et la vie est belle. Plus de douleur. Plus de brulure.




..





Trop bien. J’ai envie de dire au gens que j’aime que je les aimes. J’ai envie de dire au monde entier qu’il est beau. T’es belle toi aussi Petris-Betite. Et puis psst. Je t’aime bien aussi, petite dame. Mais ne le dit pas à Betris. Je m’excuse de t’avoir dit ces trucs vilains tout à l’heure parce que c’était faux et que… humm… j’me sens bien et léger… Je t’aime, j’aime la vie. J’aime beaucoup de gens et beaucoup de chose. J’aime manger, j’aime l’automne, j’aime esther. Esther… Ah oui. Toute une paire de manche celle-là. Pas dans le sens vestimentaire de la chose, mais dans le sens qu’elle est si belle, on dirait une fleur, une fleur printanière. Genre. Une fleur qui étire ses pétals vers le soleil devant tout le monde. Tu l’as vu, Betris? Et vous, vous l’avez vue? Vous avez vus ses yeux de fleurs? Et les lilas! Avez-vous vu ces lilas? oh, doux lilas, aussi beaux qu'une plume de paons dans les cheveux d'Esther... ahhh! AÏE




Et Finn qui était jusque là mystérieusement suspendu dans les aires, entouré d’étranges petits insectes bleus volant, terminant ce discours inspiré, sembla soudain reprendre conscience et alla s’écraser de tout son long contre la vitre d'une fenêtre au plafond…


[hj: AHAH. Je t'avais prévenu...]


Dernière édition par Finn St-James le Mar 20 Nov - 16:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitimeMar 20 Nov - 11:08

Ce qui se passa ensuite, Betris n'était pas certaine de l'avoir compris. Premièrement parce que c'était totalement improbable, deuxièmement parce que c'était carrément improbable et troisièmement parce que C'ÉTAIT improbable ! Comment diable avaient-ils pu se retrouver là... comment... comment ? En fait Betris ne comprenait littéralement plus rien. Par tranche de cinq minutes elle perdait ou regagnait le peu de lucidité qu'elle avait... cela lui apprendra à accepter tous les verres qu'on lui offrait à la Banshee Hurlante !

Son corps lui brûlait, sa tête lui tournait, son estomac avait envie de se retourner sur le sol visqueux alors que celui-ci lui donnait encore plus envie de vomir. Vraiment toutes les parties de son corps l'envoyaient promener alors que, sortie de nulle part. Elle était perchée contre Finn avec la vague impression qu'il était bien loin d'être stable, mais tant pis, l'instinct du survis avait frappé, aucune créature ne pourrait venir chatouiller, dégueulasser, foncer, sauter, jouer sur le corps de Betris, OH ÇA NON ! Elle avait maintenant son grand protecteur roux pour prendre soin d'elle, pour éloigner ces petites bestioles étranges qui lui donnait des frissons.


Retenant de justesse une fois de plus en cri, se penchant sur elle-même pour éviter elle ne savait quoi venu du plafond, la sinsear du s'y reprendre à deux fois sur sa poigne. Avec ses mouvements brusques et sa prise peu orthodoxe sur la tête de son ami, la frisé eu tôt fait de carrément tomber sur le sol, perdant l'équilibre alors que son corps engourdit chutait, sans fin... nom d'un billywing, depuis quand Finn était-il aussi grand ? Bon oui, il avait toujours été géant, mais lorsqu'il était assis, c'était logique qu'il soit plus petit non ? SI si... tout à faire logique. Pourtant, elle avait bel et bien eu l'impression que sa chute vers le sol avait été sans fin... peut-être était-ce encore simplement ces sens qui se foutaient de sa gueule après tout ?

Se redressant, oubliant ses dernières pensées aussi vite qu'elles étaient arrivées, Beatris tenta d'agripper de nouveau Finn, étrangement dans ce moment ou rien n'avait de sens, il y avait au moins lui pour la protéger, le grand chevalier roux, l'armure qui morve ! Mais... en tâtant autour d'elle, elle ne le trouva pas directement. C'est la voix du litriù qui l'a guida, alors que la pièce autour d'elle s'était transformée en un énorme océan de vague... Merlin, elle allait vomir. Pu d'alcool... plus jamais, promis juré ! Surtout que... ce que Finn racontait n'avait strictement aucun sens... était-ce elle qui fabulait, ou lui qui imaginait tout ça ?

Maintenant bien assise contre le sol visqueux, les deux jambes droites devant elle, elle fixait avec inquiétude l'endroit ou devait se trouver Finley... elle voyait son ombre bouger étrangement sous la faible lumière de la petite fenêtre au sommet de la pièce, là-haut, bien loin. Elle cligna des yeux à répétition alors que les paroles du roux atteignaient enfin son cerveau...


«Ehhh....?»

Il avait dit de vilaines choses sur elle ? Elle.... elle n'en avait aucun souvenir pourtant... Étrange... Betris continuait donc de méditer sur les paroles particulièrement pertinente de Finn... écoutant d'une oreille distraite les millions de commentaires lancés au sujet d'Esther, tiens, elle ne savait pas que Finn l'aimait autant ! Étrange... quand même, il cachait bien son jeu de roux !

Mais alors qu'elle continuait de cligner des yeux, docilement, sur le sol, quelque chose attira son attention... d'abord marqué par un AÎE bruyant... suivit ensuite par... par !


«MERLIN!!!!»

Finn volait !!! Oh non ! Elle devait le rattraper au plus vite ou elle resterait coincée le reste de sa pauvre existence dans cet... endroit !

Sautant sur ces pieds avec une agilité qu'elle ne s'était jamais connue, et qu'elle ne connaîtrait sûrement plus jamais, Betris s'élança sur Finn alors que celui-ci volait allègrement dans la pièce. Il semblait prendre de plus en plus d'altitude et la frisée eue bien des difficultés à s'agripper convenablement sur l'une des jambes du roux.


Tout ceci n'avait aucun sens... elle devait avoir pris des champignons magiques sans le savoir... ou pire, elle ne faisait que rêver ! C'était humainement et sorcièrement impossible... Elle tentait encore et toujours de s'expliquer plus concrètement possible la cause de toute cette aventure lorsqu'elle remarqua que la petite fenêtre qui semblait si loin quelques minutes plus tôt était maintenant pratiquement à porter de main !! Merlin, ils étaient sauvés ! Ils n'allaient pas finir le reste de leur vie à se gratter la peau avec une envie de vomir, c'était magique, alléluia !!! La sinsear se mit donc à faire la seule chose lui passant par la tête pour aider Finn dans son ascension, elle se mit à souffler. Elle souffla dans la direction opposer, puis en bas, jusqu'à pratiquement hyperventilation, mais... elle aurait au moins eut le mérite d'avoir essayé et puis... au fond, peut-être que cela avait été efficace puisqu'ils s'approchaient enfin de la fenêtre. Betris, toujours cramponnée à la jambe de Finn, réussit enfin à agripper le rebord de la fenêtre pour les faire passer au travers.

« LIBÉRATTTIIOOOON! Finn, on a réussiiiiii ! On est toujours en vie !»

Oui... bon, enfin, maintenant il ne restait qu'à espérer qu'ils ne voleraient comme ça pas trop longtemps à travers l'île de Lewis... visiblement au loin, un orage se préparait.
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MessageSujet: Re: Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI]   Je ne suis qu'une pauvre victime ou «l'art de se plaindre en pleine nuit». [PV BETRIS - RP FINI] Icon_minitime

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